Le dropshipping : focus sur cette pratique qui flirte avec l’arnaque

Tu as peut-être déjà entendu parler du dropshipping, une pratique commerciale qui se développe de plus en plus sur internet, notamment chez les influenceurs, via les réseaux sociaux. Mais tu ne sais pas forcément ce qu’il se cache derrière … Cela serait pourtant intéressant de le savoir puisque cette pratique n’est pas sans risque. Faisons donc le point sur ce que c’est concrètement !

C’est quoi, exactement ?

Il s’agit d’une pratique de vente en ligne dans laquelle trois acteurs entrent en jeu :

  •  Le fournisseur, qui propose des produits ;
  • Le revendeur ou dropshipper, qui vend les produits du fournisseur ;
  • Le client, qui achète les produits.

Jusque là, rien de bien différent de la vente habituelle. Mais la particularité du dropshipping, c’est que le revendeur ne gère pas les stocks et que les produits sont livrés directement par le fournisseur. Donc finalement, le dropshipper est un intermédiaire et a pour seule mission de promouvoir et vendre le produit du fournisseur plus cher pour récupérer une marge.

Ce business est une pratique intéressante pour les dropshippers, qui peuvent faire de la vente en ligne sans devoir gérer les aspects logistiques, les stocks ou encore l’envoi du produit. Néanmoins, le dropshipping n’est pas toujours avantageux, que ce soit pour le client ou encore pour le revendeur.

Une pratique qui n’a pas que des avantages

Le principal inconvénient pour le dropshipper, c’est qu’il est le seul responsable des commandes de ses clients. En effet, le contrat de vente est conclu entre le client et lui-même. Ce qui implique que le fournisseur n’y apparait pas et que s’il n’honore pas les commandes ou encore la qualité de produit, c’est le revendeur qui aura des problèmes avec ses clients.

Si tu souhaites être dropshipper, garde donc bien à l’esprit qu’il est essentiel de travailler avec des fournisseurs de confiance ! Si tu as un doute concernant un fournisseur, évite donc de collaborer avec lui.

Gare aux arnaques !

Ce système peut également avoir des inconvénients pour les clients, qui peuvent parfois payer le produit beaucoup plus cher que s’ils l’avaient acheté sur le site du fournisseur directement. De plus, le dropshipper ne connaît pas forcément le produit ou encore sa qualité, ce qui peut se répercuter sur le client.

La pratique du dropshipping est légale si les dropshippers sont déclarés en tant qu’entreprise ou en freelance. Mais malgré que ce soit légal, cela n’empêche pas les arnaques ! En effet, certains sites de dropshipping avancent de fausses informations ou rendent les conditions de remboursement ou de retour impossibles. Par exemple, la plupart de ces sites proposent des produits soldés et indiquent parfois qu’un produit ne peut être remboursé s’il est soldé. De plus, bon nombre de ces sites ont une très courte vie : ils disparaissent après quelques semaines ou mois et il est donc impossible de les retrouver si tu n’as pas reçu ta commande.

On le sait, les influenceurs ont, comme leur nom l’indique, beaucoup d’influence sur leur communauté. Or, quand ils participent à ce type de ventes, les moins scrupuleux d’entre eux pourraient aller jusqu’à avancer de fausses informations, précisément pour inciter davantage à l’achat en laissant croire que l’offre est incomparable : fausses promotions, qualité inférieure à ce qu’ils prétendent, mensonges sur la provenance du produit ou sur l’état de leur stock, etc.

Comment flairer les mauvais plans ?

Voici quelques conseils pour reconnaitre les sites de dropshipping, ce qui pourra te permettre de redoubler de prudence :

  • Ils proposent pratiquement toujours de très grosses soldes, pouvant aller jusqu’à 70 ou 90%.
  • Ils présentent souvent la même structure de site, ils se ressemblent tous.
  • Tu peux facilement les détecter en réalisant une recherche d’image en faisant un clic droit sur l’image du produit et en cliquant sur « rechercher une image avec Google ». En faisant cela, tu tomberas sur plusieurs liens qui vendent le même produit et notamment sur les sites des fournisseurs où les produits sont vendus moins cher.
  • Le délai de livraison est généralement très long, 3 ou 4 semaines, ce qui signifie par ailleurs qu’il y a de fortes chances que ton produit provienne de Chine !

Finalement, la meilleure chose à faire est d’être vigilant et de ne pas te précipiter dans tes achats. Méfie-toi également des bons plans que les influenceurs peuvent proposer, surtout quand ça à l’air trop beau pour être vrai !

Bourse d’études : dernière ligne droite !

Tu n'as pas encore introduit ta demande de bourse d'études pour cette année académique et tu souhaites passer par notre centre pour obtenir de l'aide ? Tu peux le faire jusqu'au 31 octobre.

Que tu choisisses le formulaire électronique ou le formulaire papier, nous pouvons t’accompagner pour introduire ta demande de bourse, durant nos heures de permanences, du lundi au vendredi de 12h à 17h, sans rendez-vous.

 

Petit rappel : si tu souhaites introduire ta demande de manière électronique, la carte d’identité et son code PIN sont indispensables !

Pour le secondaire > carte d’identité du chef de ménage

Pour le supérieur > carte d’identité de l’étudiant

 

En fonction de ta situation, certains documents seront à joindre à ta demande : attestation d’inscription, attestation de revenus, copie du bail, copie de l’abonnement de train, etc. N’hésite pas à nous contacter pour en savoir plus afin de rassembler tous les documents nécessaires avant de faire ta demande de bourse. Tu n’as pas tous les documents requis en ta possession ? Tu peux malgré tout introduire ta demande et fournir les documents par la suite (jusqu’au 30 novembre 2020).

Le phénomène « FOMO », la peur de passer à côté de quelque chose

Le «Fear of missing out» soit la «peur de manquer quelque chose» est une crainte d’être à l’écart de ce qu’il se passe d’important. Que cela concerne les événements, les news, les rencontres ou bien les achats, le FOMO est très présent dans notre société, dans laquelle on doit à tout moment être attentif pour ne rien manquer. Et toi, es-tu particulièrement sensible à ce sentiment ? C’est le moment d’y réfléchir, grâce à ce petit tour d’horizon de situations où le FOMO se manifeste le plus.

C’est quoi, au juste, le FOMO ?

Il s’agit d’une sorte d’anxiété à l’idée d’être hors connexion, due au risque de rater, pendant ce temps, quelque chose considéré comme agréable, utile ou important (information, conversation, rencontre, invitation à une fête, etc.).

Au-delà de ces moments de déconnexion, puisque que ton cerveau ne peut traiter qu’une certaine quantité d’informations en un certain laps de temps, tu dois opérer des choix au milieu de l’abondance d’informations et de sollicitations qui arrivent. Or « choisir c’est renoncer » ce qui te donne l’impression que les choix que tu fais te font rater quelque chose de mieux.

Sur les réseaux sociaux

Coucher de soleil et sable fin, lampions et transats designs, voilà en gros le résultat de trente minutes de défilement sur ton smartphone. Et tu te dis « Ah zut, si j’avais refusé l’invitation à l’annif de Mamie, j’aurais pu vivre tout ça ! »
Pendant que l’on soufflait ses bougies, tu as aussi raté le live d’Antoine … qui s’est planté en skate. Ton smartphone sonne et tu vois qu’Aleksia a posté les photos de l’après-midi kayak auquel tu n’as pu participer.

Bref, pendant tout ce temps, tu as rêvé d’une vie idéale sans profiter des instants que tu passais dans la réalité. Mais ce que tu ne savais pas, c’est que tu as idéalisé les moments ratés : il a plu juste après le coucher de soleil, Antoine s’est cassé le poignet et Aleksia a failli se noyer en kayak ! Du coup, tu as eu peur de rater de supers moments alors qu’en réalité il ne s’est rien passé de spécial.

Dans les jeux vidéo

La nuit, quand tu es supposé dormir, l’univers de ton jeu vidéo continue d’évoluer entre Kyoto et San-Francisco. Le lendemain matin, au réveil, tout a changé. Tu as raté une énorme partie du déroulement du jeu et ton avatar est mort par ta faute lorsque les autres joueurs étaient (déjà ou encore) actifs !
Tu as donc l’impression et l’angoisse de passer à côté de quelque chose et tu te dis alors que pour remédier à ça, la prochaine fois tu joueras un peu plus tard au détriment de ton sommeil …

Dans tes relations

C’est pareil dans les relations interpersonnelles, et plus particulièrement amoureuses : le FOMO te pousse à chercher LA personne que tu recherches depuis toujours. Cela se caractérise avec certaines applis de rencontre. En effet, tu as beau être en couple avec quelqu’un et te sentir bien dans cette relation, une petite voix te pousse à te demander et à vérifer s’il n’existe pas mieux ailleurs.
Tu te remets alors à swipper de gauche à droite à la recherche de l’âme sœur, alors qu’elle est sans doute à côté de toi et que tu pourrais partager un bon moment avec elle.

Dans le marketing

Au quotidien, nous sommes bombardés de suggestions d’achats ou d’activités. Vu qu’il n’est pas encore possible de visiter les pyramides tout en gravissant le Mont-Blanc ou encore de suivre la Meuse à vélo en même temps, l’univers du marketing a trouvé la solution et va te mettre la pression. Pour que tu choisisses vite sans réfléchir, tu vas te retrouver devant des offres telles que « Après minuit il sera trop tard … » ou « Plus que 3 exemplaires disponibles ! ». Là aussi, c’est la peur de passer à côté d’une super offre qui va t’avoir ! Tu risques donc de réserver tes futures vacances dans l’empressement.

Dans les médias

Tu dois te dire que ce sont encore les jeunes qui sont critiqués à travers ce phénomène et que les adultes n’ont rien à se reprocher ? Eh bien détrompe-toi, les adultes sont eux aussi victimes de FOMO.
Le phénomène n’est pas nouveau, nos grands-parents étaient scotchés à la radio ou à leur TV pour connaitre les dernières nouvelles. Nos arrière-grands-parents, quant à eux, se retrouvaient à la buvette ou au café pour raconter les derniers potins. Les adultes raffolent de news en continu, ce qu’on appelle les « breaking news ». Cela les amène à consulter de manière compulsive les sites d’infos dans le but d’être au courant du dernier transfert de foot ou du dernier crash d’avion à l’autre bout du monde.

Le JOMO ou la solution

Le « JOMO » pour « Joy of Missing Out », la joie de passer à côté, est le plaisir à laisser passer les choses. Quel plaisir de se déconnecter vingt minutes, une heure, une journée ou à tout jamais de certaines applications, sites ou simplement de son smartphone ! Tu peux alors prendre conscience que ce temps peut te servir à réaliser des activités qui comptent vraiment pour toi et t’apportent quelque chose de positif.

Alors, tu te reconnais dans tout ça ? Tu es prêt à passer du FOMO au JOMO ? You can do it !

Le Pacte d’excellence, c’est quoi ? Que va-t-il changer ?

De plus en plus, on entend parler du Pacte pour un enseignement d’excellence, ou plus communément du « Pacte d’excellence ». De quoi s’agit-il exactement ? Quelles nouveautés apportera cette grande réforme de l’enseignement ? Qu’est-ce qui changera pour les élèves ? Qui sera concerné et quand ? On fait le point !

C’est quoi, le Pacte d’excellence ?

Le Pacte pour un enseignement d’excellence est un ensemble de réformes dont les principaux objectifs sont de renforcer et améliorer l’enseignement de la maternelle au secondaire, en vue de réduire le redoublement et le décrochage scolaire, grâce à la mise en place d’une série de mesures.

Quels seront les grands changements ?

Le changement majeur est la création d’un tronc commun d’apprentissage, qui sera organisé sur 12 années (de 3 ans à 15 ans). Son objectif est de renforcer les savoirs de base et d’assurer un niveau de connaissances plus élevé pour l’ensemble des élèves. Il vise la pluridisciplinarité et les apprentissages transversaux en s’axant sur des domaines clés tels que la maîtrise de la langue française et les langues modernes, le renforcement à l’éveil et la citoyenneté, la promotion des arts et la culture à l’école, ou encore la valorisation des activités physiques.

Le futur tronc commun apporte son lot de modification en ce qui concerne les cours, comme par exemple :

  • L’apprentissage d’une 2ème langue (néerlandais, anglais ou allemand) dès la 3ème primaire, obligatoirement ;
  • La sensibilisation aux enjeux climatiques à travers les cours scientifiques ;
  • L’apprentissage du latin pour tous les élèves en 2ème secondaire ;
  • L’enseignement plus précoce de certaines matières, comme l’histoire du nazisme, les questions de mondialisation et de migration ;
  • Le passage de deux à trois périodes hebdomadaires pour le cours d’éducation physique.

Après la 3ème secondaire, l’élève entamera trois années d’enseignement secondaire supérieur, organisées en deux branches :

  • Une filière de transition, regroupant l’ensemble des formations actuelles ne menant pas à la maîtrise d’un métier mais s’orientant vers des études supérieures ;
  • Une filière de qualification, reprenant l’ensemble des filières actuelles orientées vers les métiers. Cette filière n’ayant pas pour but de mener à des études supérieures, si un étudiant souhaite en poursuivre, il devra passer une épreuve complémentaire en fin de 6ème année ou réaliser une septième année.

Bien que rien ne soit officiel actuellement, le pacte d’excellence devrait également modifier les rythmes scolaires : les journées d’école pourraient s’allonger d’une heure, consacrée à des activités sportives et culturelles.
La durée des congés scolaires pourrait également être revue : un allongement des congés de détente et un raccourcissement des grandes vacances sont envisagés.

Quand prendra-t-il effet ?

Bien que rien ne soit officiel actuellement, le pacte d’excellence devrait également modifier les rythmes scolaires : les journées d’école pourraient s’allonger d’une heure, consacrée à des activités sportives et culturelles.
La durée des congés scolaires pourrait également être revue : un allongement des congés de détente et un raccourcissement des grandes vacances sont envisagés.

Ce qui change à la rentrée 2020-2021

À partir de cette rentrée, l’école est obligatoire dès l’âge de 5 ans, contre 6 précédemment. Tous les enfants âgés de 5 ans doivent donc être inscrits en 3ème maternelle. Cet abaissement de l’âge de l’obligation scolaire vise à lutter contre l’échec scolaire en primaire, notamment en détectant de façon plus précoce d’éventuelles difficultés d’apprentissage.

Autre changement majeur : l’enseignement maternel est maintenant doté d’objectifs pédagogiques précis. Les compétences de base devant être maîtrisées par tous les enfants à l’issue de leurs trois années de maternel sont définies dans un référentiel destiné au corps enseignant.

Enfin, les mesures dites « de gratuité » sont étendues à la 2ème maternelle. Cela veut dire que les écoles ne peuvent plus réclamer de frais pour l’achat de matériel (feutres, peinture, matériel de bricolage, etc.). Ces mesures seront étendues à la 3ème maternelle dès la rentrée 2021-2022.

Plus d’infos ?

Si tu souhaites décortiquer le Pacte d’excellence en détail, tu retrouveras plus d’informations sur le site www.enseignement.be, le portail officiel de l’enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles.

Étudier malgré son handicap ? C’est possible !

Depuis plusieurs années, la FWB démontre son souhait de tendre vers une éducation plus inclusive en promouvant ce que l’on appelle « les aménagements raisonnables » dans l’enseignement ordinaire. À travers cette démarche, elle s’engage à garantir les droits des personnes en situation de handicap et de supprimer toute forme de discrimination à leur égard.
La réforme du Pacte pour un enseignement d’excellence met ainsi l’accent sur la nécessité de maintenir les élèves et étudiants à besoins spécifiques dans l’enseignement ordinaire. Tu es concerné par cette thématique ? On la développe pour toi, avec l’aide d’une psychologue.

L’éducation inclusive

L’éducation inclusive est une forme de regroupement social permettant aux élèves à besoins spécifiques de se retrouver dans une classe ordinaire, ainsi que la mise en place de mesures favorisant les apprentissages et leur socialisation. Ils évoluent ainsi inclus dans l’enseignement ordinaire et ne dépendent plus de l’enseignement spécialisé.

Les besoins spécifiques

Un besoin spécifique est un besoin résultant d’une particularité, d’un trouble, d’une situation permanente ou semi-permanente, d’ordre psychologique, mental, physique ou psychoaffectif, faisant obstacle à l’apprentissage et requérant, au sein de l’école, un soutien supplémentaire pour permettre à l’élève de poursuivre de manière régulière et harmonieuse son parcours scolaire dans l’enseignement ordinaire primaire ou secondaire. En effet, « tous les enfants n’ont pas les mêmes besoins, notamment les enfants avec un fonctionnement particulier », nous explique Amandine, la psychologue que nous avons interrogée.

Les aménagements raisonnables

Un aménagement raisonnable est une mesure concrète permettant de réduire autant que possible les effets négatifs d’un environnement inadapté sur la participation d’une personne à la vie en société.

Comme nous l’explique Amandine, les aménagements raisonnables permettent dès lors «d’accompagner l’enfant dans ses apprentissages, en prenant en compte sa situation de handicap et donc ses besoins, en fonction de ses particularités, de ses difficultés et de ses forces.».

Cet accompagnement permet donc à un élève ayant des troubles spécifiques d’apprentissage de participer pleinement aux mêmes activités que les autres élèves mais également de progresser sur un pied d’égalité avec ceux-ci.

L’aménagement peut prendre différentes formes : matérielle, immatérielle, pédagogique, organisationnelle, …

« En fonction des demandes des parents, l’accompagnement peut se faire en individuel, dans la classe, à la maison ou dans différents lieux que fréquente l’enfant (le supermarché, le chemin de l’école à la maison, le tram, etc.).», nous explique Amandine.

Quelles démarches ?

La demande peut être faite par les parents d’un élève mineur, un élève majeur, toute personne investie de l’autorité parentale d’un élève mineur, par le CPMS attaché à l’école, par un membre du conseil de classe ou par la direction de l’établissement.

Toute demande doit être accompagnée d’un diagnostic établi par un spécialiste. Une décision d’un organisme régional chargé de l’intégration des personnes en situation de handicap (AVIQ ou PHARE) peut également servir de base à la demande. Le CPMS peut également être habilité à poser le diagnostic. Pour une première demande, celui-ci doit dater de moins d’un an.

Et dans l’enseignement supérieur ?

Il existe un décret relatif à l’inclusion des étudiants à besoins spécifiques qui impose aux institutions l’obligation d’offrir à l’étudiant, s’il en fait la demande, un accompagnement et des aménagements raisonnables qui auront été définis en fonction de ses besoins individuels et inscrits dans le cadre d’un plan d’accompagnement individualisé (PAI). Il s’agit d’un document organisant la mise en place des différents aménagements qui seront réalisés pour l’étudiant.

Les besoins matériels, pédagogiques, sociaux, culturels, médicaux et psychologiques de l’étudiant seront analysés par le service d’accueil et d’accompagnement, en collaboration avec l’étudiant et les acteurs concernés.

La majorité des établissements ont mis en place des pages spécifiques sur leur site internet, permettant aux étudiants de prendre connaissance des différentes procédures à mettre en œuvre pour bénéficier de ces aménagements. Il est essentiel de consulter ces informations car elles varient en fonction des établissements.

Plus d’infos ?

Retrouve plus d’infos sur le site enseignement.be, le portail de l’enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles.

Une formation dédiée au jeu vidéo à l’Université de Liège

La culture vidéoludique t’intéresse ? Tu es titulaire d’un diplôme de bachelier ?

L’Université de Liège organise, à partir de janvier 2021, un certificat inter université et haute école « Travailler avec la culture vidéoludique », accessible aux diplômés de premier cycle provenant de divers milieux : communication, médias, socio-culturel, enseignement, jeunesse…

Retrouve tous les détails de la formation dans la brochure dédiée

 

Retards et absences scolaires : que risques-tu ?

T’absenter fréquemment de l’école sans raison valable peut entrainer la perte de ton statut d’élève régulier, ce qui t’empêcherait de valider ton année. Bien sûr, il arrive malgré tout qu’un élève soit amené à s’absenter de l’école, s’il peut justifier valablement cette absence. Mais justement, quelles sont les absences considérées comme justifiées ? Combien de jours est-il permis de s’absenter avant d’avoir des ennuis ? Quel est l’impact des absences répétées ou du statut d’élève libre sur ta scolarité ? Infor Jeunes t’explique tout !

La prise des présences

Lorsque tu es inscrit dans un établissement, que tu sois mineur ou majeur, tu dois obligatoirement t’y rendre et suivre les cours. Afin de vérifier que ce soit bien le cas, ton école doit tenir un registre de fréquentation des élèves inscrits, dans lequel sont notées les absences justifiées et injustifiées de chacun. Pour compléter celui-ci, la prise des présences rythme chaque heure de cours. Les absences sont ensuite indiquées dans ce registre, par demi-journée.

Sache que le fait de manquer une seule heure de cours suffit pour que l’école comptabilise une demi-journée d’absence et ce, peu importe le nombre de périodes de cours que cette demi-journée comprend (par exemple : si tu rates une heure de cours le mercredi, il sera considéré que tu as été absent pour l’ensemble de cette demi-journée).

Les absences justifiées

Il existe des raisons pour lesquelles ton absence à l’école peut être admise. Parmi celles-ci, retenons les suivantes :

  • La maladie couverte par un certificat médical, lequel doit être remis pour toute absence supérieure à 3 jours. Attention, le certificat médical ne peut pas justifier les jours d’absence qui précèdent ta consultation médicale ;
  • La convocation par une autorité publique (par exemple : une convocation au service d’aide à la jeunesse) ;
  • Le décès d’un de tes proches.

Peut encore être excusée une absence qui s’explique par la participation d’un élève jeune sportif de haut niveau ou espoir à des activités de préparation sportive (stage, entraînement, compétition, etc.). Si tu te trouves dans cette situation, tu pourras t’absenter maximum 30 demi-jours au total.

Attention, pour excuser valablement ton absence, ton justificatif doit être remis au chef de ton établissement (ou à son délégué) au plus tard le lendemain de ton dernier jour d’absence lorsque celle-ci n’a pas dépassé 3 jours, et au plus tard le quatrième jour d’absence dans les autres cas.

D’autres absences peuvent également être considérées comme justifiées, moyennant la remise d’un justificatif écrit de ta main (si tu es majeur) ou de celle de tes parents (si tu es mineur). Le chef de l’établissement détermine librement s’il estime que le motif de ton absence est légitime ou non (problèmes familiaux, soucis de santé physique ou mentale, transport impossible, etc.). Entre 8 et 16 demi-jours d’absence peuvent ainsi être excusés par la direction. Pour savoir à combien ce chiffre est porté dans ton école, consulte le règlement d’ordre intérieur de celle-ci !

Les absences injustifiées

Si ton absence ne rentre pas dans l’une de ces catégories, elle sera comptabilisée comme une absence injustifiée. Attention, à partir de la 3e secondaire, si tu dépasses les 20 demi-journées d’absence injustifiée au cours de la même année scolaire, tu perdras la qualité d’élève régulier et deviendras donc élève libre. Tu ne pourras alors plus obtenir d’attestation d’orientation ou de certificat à la fin de ton année scolaire. En d’autres termes, celle-ci sera considérée comme échouée et tu devras par conséquent la redoubler. En outre, si tu es majeur, tu risques de te faire exclure de ton établissement !

En tant qu’élève libre, sache toutefois que tu peux adresser une demande  au conseil de classe afin que celui-ci envisage la possibilité de te laisser réaliser tes épreuves de fin d’année.

Les retards

Si ton absence injustifiée est inférieure à la durée d’une période de cours (soit généralement 50 minutes) elle ne sera pas considérée comme telle mais bien comme un retard. C’est le règlement d’ordre intérieur (ROI) de ton école qui prévoit la sanction applicable dans ce cas (par exemple : si tu arrives 25 minutes après le début du cours de gym, il ne s’agira alors pas d’une absence mais bien d’un retard, lequel devra être sanctionné comme le prévoit le ROI).

Plus d’infos ?

Si tu souhaites plus d’informations à ce sujet ou que tu as des soucis suite à des absences ou des retards, n’hésite pas à nous contacterhttps://www.inforjeunesmons.be/notre-centre/contact/ !

Job d’été, job à l’année : quelles sont les entreprises qui recrutent ?

Ton CV est prêt ? Tu ne sais pas par où commencer ta recherche de job ? Voici une liste d’entreprises qui recrutent : pour certaines, tu pourras postuler spontanément tout au long de l’année, pour d’autres, il faudra attendre la ou les période(s) de recrutement, et pour d’autres encore, tu pourras postuler uniquement s’il y a des emplois vacants. Bonne recherche !

Grande distribution - Vente en boutique - Commerces

Colruyt

Au sein de Colruyt Group, les étudiants ont la possibilité de travailler dans un centre de distribution, dans les services centraux à Hal ainsi que dans un des magasins Colruyt, OKay, Dreamland, Dreambaby ou Bio-Planet. Que ce soit un ou plusieur(s) jour(s) par semaine durant l’année scolaire ou pendant les vacances scolaires. Envie de solliciter ? Prends vite les devants ! Les étudiants jobistes pour les vacances d’été (juillet, août, septembre) sont sélectionnés à partir du mois de mars. Si tu postules après mars, tu seras repris dans la réserve de recrutement.

Delhaize

Delhaize publie régulièrement des offres d’emploi étudiant pour ses magasins ou centres de distribution, essentiellement durant les périodes de vacances scolaires.

Carrefour

Carrefour engage des étudiants (à partir de 18 ans) durant l’été et les autres périodes de vacances scolaires. Les offres de job étudiant sont publiées en ligne.

Match

Match recrute des étudiants durant toutes les périodes de vacances scolaires. Pour postuler, rends-toi sur le site afin de consulter les offres d’emploi ou d’envoyer ta candidature spontanée via la formulaire en ligne.

Brico

Les magasins Brico recrutent des étudiants pendant les vacances scolaires ou un ou plusieurs jours de la semaine pendant l’année scolaire. Rends-toi sur le site et clique sur le magasin où tu souhaites travailler afin de soumettre ta candidature spontanée, accompagnée de préférence d’une lettre de motivation et de ton CV.

Extra

Les magasins Extra recrutent des étudiants à partir de 16 ans (18 ans pour certains magasins). Pour postuler, rends-toi directement sur place, dans le magasin de ton choix, muni de ton CV.

H&M

Les magasins H&M recrutent des jobistes toute l’année (via l’agence Interim Adecco). La priorité est donnée aux étudiants disponibles en demi-journée ou journée complète en semaine et pendant les périodes de haute activité : juin-juillet ou/et décembre-janvier.

Di

Les magasins H&M recrutent des étudiants, tu peux envoyer ta candidature spontanée directement sur leur site Internet.

Ikea

Ikea engage des étudiants durant les périodes de vacances scolaires mais aussi la semaine et le week-end. Envoie ta candidature ainsi que ton CV et ta lettre de motivation via le site internet.

Vandenborre

Vandenborre engage des étudiants dans certains de ses magasins durant les vacances d’été et les week-ends. Il est également possible de postuler au siège, pour différents départements, mais uniquement en juillet et aout. Les candidatures se font exclusivement en ligne.

Casa

Pour soutenir les équipes commerciales, CASA recherche des étudiants enthousiastes et travailleurs qui aiment autant la décoration que l’intérieur.

Restauration

Lunch Garden

Les restaurants Lunch Garden engagent des étudiants toute l’année. Pour postuler, imprime et complète le formulaire disponible sur le site et dépose-le dans le restaurant de ton choix.

Quick

Les restaurants Quick recrutent des étudiants pour renforcer ses équipes durant les vacances scolaires et les week-ends. Interessé.e ? Rends-toi sur le site afin d’envoyer ta candidature spontanée au restaurant de ton choix.

McDonald's

La chaîne de restauration McDonald’s engage des étudiants aux périodes de vacances scolaires mais également durant les week-ends. Pour postuler, complète le formulaire en ligne. Il faudra y joindre ton CV et ta lettre de motivation.

Burger King

Les restaurants Burger King recrutent des équipiers étudiants à partir de 18 ans. Tu peux postuler spontanément ou envoyer ta candidature aux postes vacants depuis leur site Internet.

Services publics

SNCB

Les chemins de fer engagent des jobistes dans différents départements : ICT, entretien technique, administration. Pour postuler, il faut avoir 18 ans et être en possession d’un certificat du 2ème degré de l’enseignement secondaire. Les modalités de candidatures seront mises en ligne en février.

Bpost

Bpost engage de nombreux étudiants durant les vacances d’été. Pour postuler,  tu dois être agé.e de 17 ans minimum et pouvoir présenter un certificat de bonnes vie et mœurs. Bien entendu, tu dois également être disponible durant les périodes qui te seront proposées et au minimum pendant 4 semaines consécutives. Le traitement de ta candidature sera confié à une agence d’intérim qui collabore étroitement avec bpost.

Nettoyage

Belcco

Belcco est une société de nettoyage qui engage des étudiants en juillet, août, septembre et décembre. L’agence du Hainaut est située à Charleroi. Pour postuler, remplis le formulaire en ligne. Tu devras y joindre ton CV et ta lettre de motivation.

Loisirs - Divertissements

Walibi

Walibi recrute de nombreux étudiants à différents postes : opérateur cash control, collaborateur en restauration, agent d’accueil, agent de propreté… Interessé.e par un de ces postes ? Rends-toi sur le site et envoie ta candidature en ligne.

Pairi Daiza

Pairi Daiza recrute des étudiants à différents postes durant les périodes de vacances scolaires. Les journées de recrutement seront organisées tout prochainement.

Autres - Divers

ONG Conseil

Via ONG conseil, tu peux postuler pour devenir recruteur de donateurs pour diverses ONG (Handicap International, La Croix Rouge, etc.) : en équipe et dans la rue, tu proposes aux citoyens de soutenir les actions de l’ONG que tu représentes à travers un don régulier mensuel.

Jeune diplômé·e ? Viens t’informer

Tu seras diplômé·e à la fin de cette année académique un peu particulière ?

Tu t’interroges sur les différents démarches à effectuer et ton entrée sur le marché de l’emploi ?

Tu as envisagé un job étudiant durant les grandes vacances ?

Infor Jeunes Mons et le Service d’insertion socioprofessionnelle du CPAS de Mons te proposent deux matinées d’information.

QUAND ?

Le mardi 14 juillet et le jeudi 23 juillet entre 9h30 et 12h

OU ?

Au centre Infor Jeunes – Rue des Tuileries, 7 à Mons

Afin de respecter les règles de distanciation sociale, tu seras reçu·e individuellement,  sur rendez-vous (le port du masque n’est pas obligatoire).

Intéressé·e ?

Contacte le centre Infor Jeunes au 065 31 30 10 (entre 12h et 17h) ou par mail

A la recherche d’un kot ? Quelques conseils pour les visites !

La fin de l’année scolaire sonne souvent le début des recherches de kot. Que tu termines tes études secondaires ou que tu aies déjà un logement étudiant mais que tu souhaites déménager ou encore que tu changes de ville pour tes études, la recherche d’un kot n’est pas à prendre à la légère ! Tu peux te tourner vers différents types de logements tels que les studios privatifs, les maisons collectives, les résidences universitaires ou encore les kots intergénérationnels. Mais avant toutes choses, il y a une étape à ne pas sauter. Celle de la visite !

La visite du logement est un moment essentiel dans ta recherche. Elle te permet d’évaluer la qualité du logement que tu souhaites louer, mais également de poser tes questions au/à la propriétaire et d’avoir toutes les informations pour faire ton choix.

Lors de la visite, il y a plusieurs choses auxquelles tu dois faire attention :

Tout d’ abord et si cela est possible, il est préférable de visiter un kot lorsque celui-ci n’est pas occupé. Car cela te permettra de te rendre compte de la superficie réelle du kot, mais également des éventuelles imperfections qui peuvent être cachées par des meubles et les affaires du locataire. La plupart des logements pour étudiants sont déjà meublés, donc n’hésite pas à demander de déplacer certains éléments pour vérifier s’il n’y a pas de fissures, tâches d’humidité ou encore une prise en mauvais état.

De préférence, effectue la visite accompagné d’un de tes parents ou encore d’une personne qui a déjà fait l’expérience de la location. Pourquoi ? Parce que deux paires d’yeux valent mieux qu’une. De cette manière la personne qui t’accompagne pourrait voir des choses que tu n’aurais peut-être pas vues ou encore poser des questions auxquelles tu n’aurais pas pensé tout de suite.

Surtout, n’hésite pas à visiter plusieurs kots et ne t’arrête pas au premier. Visiter ne t’engage à rien.

Visite : à quoi être attentif ?

  • À la localisation du kot (l’accessibilité des transports en commun, la proximité de ton école, des commerces…, si c’est un lieu bruyant ou plutôt calme), pour cela tu peux faire le tout du quartier
  • À l’état des murs (tâches d’humidité)
  • À l’état des châssis (pour l’isolation de ton kot) et au vitrage des fenêtres
  • Au type de chauffage (gaz, électricité, …) et à la présence ou non d’un radiateur dans ta chambre
  • À la sécurité de l’installation électrique
  • Au nombre et à l’état des prises
  • À l’équipement de détecteurs d’incendie
  • À l’état des sanitaires (s’ils sont propres ou encore s’ils sont partagés ou individuels), n’hésite pas à tirer la chasse d’eau ou encore à faire couler l’eau des robinets ou de la douche pour vérifier que tout fonctionne
  • À l’équipement disponible dans la cuisine (hotte, four, taque électrique, etc.), ainsi que l’équipement qu’il t’est autorisé d’installer ou non dans ta chambre (four à micro-ondes)
  • À la connexion internet (prévue dans le bail ou à charge du/des locataires)
  • À l’organisation et l’entretien des communs s’il y en a, ainsi que le nombre de personnes avec qui tu devras les partager. N’hésite pas à poser tes questions sur tes futurs co-kotteurs afin de savoir si la cohabitation est envisageable selon tes critères
  • Renseignes-toi sur ton degré de liberté en matière de décoration (repeindre les murs, poser des clous, …)

Quelques trucs utiles à savoir :

  • Le propriétaire ne peut pas te demander de payer pour visiter un kot, cela est illégal !
  • Généralement, les propriétaires qui louent un logement individuel ou collectif doivent posséder un permis de location, s’il fait moins de 28 m².
  • Les logements doivent respecter différentes normes telles que la salubrité, la superficie ou encore l’obligation d’équipement de détecteurs d’incendie.

Au-delà des choses à savoir et de la visite, il n’est pas toujours évident de s’y retrouver face au langage du monde de l’immobilier. Alors, définissons quelques termes que tu seras amené à rencontrer !

 

Le lexique du futur kotteur :

Le bail : Il s’agit d’un contrat par lequel un.e propriétaire accorde l’usage et la jouissance d’un immeuble (ou une partie d’immeuble) à un.e locataire, moyennant le paiement d’un loyer.

Ce contrat sera rédigé en trois exemplaires : un pour le/la propriétaire, un pour toi et le troisième est destiné à l’enregistrement. Les 3 exemplaires doivent être datés et signés par les 2 parties, c’est-à-dire le/la propriétaire et le/la locataire.

L’état des lieux : C’est une description détaillée de l’état dans lequel se trouve le bien loué, d’une part au moment de ton entrée dans le logement (état des lieux d’entrée) et, d’autre part, à la fin de la location (état des lieux de sortie).

Il est obligatoire et doit être signé, daté et enregistré en même temps que le bail ! N’hésite pas à être le/la plus complet.ète dans ta description et tu peux également prendre des photos lors de ton entrée dans le logement.

Si malgré tout aucun état des lieux n’est fait ? Il n’y aura aucune sanction particulière et tu seras présumé.e avoir reçu le bien dans l’état où il se trouve en fin de bail.

La garantie locative : Il s’agit d’une somme d’argent qui permet au/à la propriétaire de se prémunir contre un.e locataire qui viendrait à manquer à ses obligations. Elle sert généralement à couvrir les éventuels dégâts locatifs causés, mais ne peut pas être utilisée pour payer le dernier loyer ou ses arriérés.

Elle n’est obligatoire que si une clause dans le contrat la prévoit de manière expresse et est calculée sur le loyer charges non-comprises. À la fin du bail, si tu as rempli toutes tes obligations, tu récupéreras ta garantie locative au plus tôt, le dernier jour de ta location

Si tu souhaites en savoir plus sur la vie en kot, la législation etc. n’hésite pas à consulter notre brochure « Ton Kot a la cote » disponible en ligne sur notre site internet ou en version papier dans notre permanence, du lundi au vendredi de 12h à 17h. De plus, nous pourrons t’aider dans ta recherche grâce à notre service logement.

 

Notre service logement :

A partir du mois de juin, nous te proposons un service logement te donnant accès à une base de données reprenant les logements étudiants sur Mons et sa région. Cette base de données est consultable gratuitement sur notre site ou en version papier en te rendant dans nos bureaux durant nos permanences où nous pourrons te conseiller et t’informer au mieux sur la législation.

De plus, si tu es étudiant de plein exercice, nous te proposons une assurance risques locatifs au prix de 30 € pour l’année scolaire (du 1er septembre 2020 au 31 août 2021).

N’hésite pas à nous contacter par téléphone ou à vernir nous rencontrer pour en savoir plus.