Gaming, e-sport, influenceur.euse : ça commence à payer !

Tu as peut être une passion qui progressivement est devenue une source de revenus ? Tu as développé une compétence qui peut te permettre de gagner de l’argent ? Comment faire pour percevoir ces revenus de façon légale ?

Nouveaux métiers, métiers émergeants, métiers d’avenir ?

Le monde du travail est en perpétuelle évolution. Certains métiers disparaissent, d’autres se créent. On parle alors de métiers émergeants. Ce sont des nouveaux métiers qui n’existaient pas il y a encore quelques années et qui occupent aujourd’hui une place de plus en plus importante sur le marché de l’emploi. Influenceur, créateur de contenu, Youtubeur/euse, e-sportif, pilote de drône, sont les  nouvelles vocations qui rencontrent un franc succès auprès des jeunes.

A côté du secteur de l’influence qui cartonne depuis quelques années, le secteur du gaming est lui aussi en plein développement. Si tu es un fan de jeux vidéo et que tu excelles dans ce domaine, sache que c’est un secteur qui se professionnalise et qui t’offre l’opportunité de monétiser cette compétence. De nombreuses structures ayant pour but de promouvoir et favoriser le développement du gaming ont vu le jour.

Obligations légales ?

Si tu es arrivé à faire de ta passion un moyen de gagner ta vie, il y a cependant des obligations auxquelles tu dois faire face. Nous avons tous l’obligation de déclarer nos revenus professionnels à l’administration fiscale. Pour rappel, un revenu professionnel est constitué des rémunérations (salaires, remboursement du trajet domicile-travail, avantages de toute nature…) et/ou des revenus de remplacement (pensions, prépensions, allocations de chômage, indemnités d’assurance-maladie…).

De plus, qui dit revenus professionnels dit surtout statut. En effet tu  peux percevoir un salaire uniquement dans un cadre précis. En Belgique, il existe deux cas de figure : un salaire en provenance d’un travail effectué à titre indépendant ou en tant que travailleur salarié.

Obligations… Solutions !

En tant qu’étudiant indépendant, tu bénéficies d’un statut spécifique. Parmi les conditions à remplir, tu dois avoir plus de 18 ans et t’acquitter de cotisations sociales forfaitaires de 79,34€/trimestre durant les 3 premières années de ton activité (montant qui sera revu en fonction de tes revenus). En tant qu’indépendant tu peux donc facturer ta prestation à ton client.

Tu peux aussi percevoir ces revenus avec un statut de freelance salarié (Pour plus d’informations consulte notre article « Qu’est-ce qu’un freelance ?).  Dans ce cas tu es sous contrat de travail pour la prestation que tu effectues. Sache qu’il n’y a pas de cotisations sociales trimestrielles à payer car celles-ci sont prélevées sur chaque contrat. Travailler à 18 ans est possible, pour peu que ton contrat respecte la législation relative au travail étudiant. Dans ce cas tu dois passer par une structure (par exemple : Amplo) qui réalisera ton contrat de travail, te paiera ton salaire (en général la semaine suivant ta prestation) et qui ensuite se chargera d’envoyer une facture à ton client.

Cette possibilité s’applique à tous les jeunes : étudiants, non étudiants, jeunes travailleurs, bénéficiaires d’allocations. Veille surtout à bien expliquer au consultant  ta situation pour que le contrat soit juste. De ton côté, renseigne-toi également sur les limites à ne pas dépasser et les éventuelles conséquences de ces revenus (rester fiscalement à charge des parents, impact sur l’allocation de chômage…)

En conclusion, si tu as une passion, un talent, une compétence qui génère un revenu, tu es peut-être en train de créer un métier d’avenir ou tout simplement ton propre métier.  Il est cependant important d’être informé et entouré par des structures qui te permettent de connaître tes droits et tes obligations. Si tu as une idée, lance-toi pour faire de ta vie un rêve et de tes rêves une réalité ????

Plus d’informations ?

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L’épuisement et le burn-out des étudiants

On entend souvent parler d’épuisement, parfois de burn-out chez les travailleurs, mais qu’en est-il pour les étudiants ? Et si eux aussi pouvaient être victimes d’épuisement ? Et si la situation sanitaire actuelle venait augmenter le risque de développer des troubles ? Tu présentes toi-même des symptômes d’épuisement ? Ce billet est pour toi !

Le burnout en quelques mots

Le burn-out est un trouble qui se manifeste lorsque la personne est dans un état d’épuisement total et qu’elle ne parvient plus à faire face à la pression qui l’entoure (professionnelle, scolaire …). Différents symptômes peuvent se présenter : fatigue, troubles du sommeil, manque d’appétit, stress persistant, la moindre contrariété devient un obstacle.

Parfois la personne ne parvient plus à trouver du « sens » dans les tâches qu’elle effectue au travail. Un état mental qui a des incidences sur la sphère privée, amenant parfois la personne à remettre en question sa « vie ». Les répercussions sur la vie privée sont d’ailleurs fréquentes, notamment au niveau des liens avec les proches.

L’épuisement

L’épuisement peut être soit physique, soit mental, soit les deux. Il se caractérise par un état de fatigue intense, qui peut cependant se rétablir grâce au sommeil, ou à la prise d’un temps de repos nécessaire au bon rétablissement de la personne.

L’épuisement et le burn-out apparaissent tous deux dans le milieu professionnel : un travailleur pourra ainsi au besoin, s’orienter vers son médecin traitant, qui peut imposer un repos forcé pour que la situation ne s’empire pas.

Des étudiants fatigués, dépassés

Même si le terme est moins employé dans le milieu scolaire, le burn-out concerne également les étudiants. Et ce d’autant plus avec l’arrivée du coronavirus et son lot de conséquences, qui ont impacté le milieu académique : cours en distanciel, manque de matériel informatique nécessaire au bon déroulement de l’étude (disposition d’un PC ou d’une connexion WIFI), isolement social, perte des plaisirs simples de la vie (aller au restaurant, boire un verre après les cours).

Pour les milieux médicaux tels que les apprentis médecins et infirmiers, s’ajoute une charge de travail afin de venir en aide aux hôpitaux. Un travail souvent réalisé bénévolement, dans le cadre d’un stage obligatoire par exemple.

Comment faire face ?

Les symptômes s’accumulent, tu te sens totalement submergé par la situation et tu ne sais plus comment en sortir ? Lorsque tu te sens dans une situation d’épuisement, n’aie pas peur de dire stop et essaye de trouver des solutions. Pour cela, tu peux :

-Relativiser la situation et apprendre à lâcher prise sur ce que tu ne peux pas contrôler. Par exemple, il est normal, au vu de la situation actuelle, de ne pas être capable de gérer entièrement toute sa session d’examens et d’avoir une seconde session.
-Parler à ton entourage et partager tes ressentis.
-Prendre rendez-vous avec ton médecin traitant qui t’aidera et t’orientera au besoin.

Si tu es totalement perdu face aux démarches à entreprendre pour trouver de l’aide, n’hésite pas à contacter le centre Infor Jeunes de ta région, qui t’orientera vers des services compétents en la matière.

Puis-je quitter mon kot avant la fin de l’année ?

Parce que tu abandonnes tes études ou que tu te réorientes, ou pour diverses raisons, il se peut que tu souhaites mettre fin à ton bail étudiant avant son terme afin de pouvoir quitter ton kot. Voyons ensemble ce qui est permis.

Si tu as signé ou renouvelé ton bail avant le 1er septembre 2018, tu ne peux en principe pas rompre à l’avance et de ta propre initiative ton contrat de bail sauf si celui-ci prévoit cette possibilité. Relis  bien attentivement ton contrat pour voir s’il ne prévoit pas d’autres modes de résiliation anticipée (par exemple : l’arrêt des études, la maladie ou le décès d’un des parents).

Si rien n’est prévu, tu dois aller jusqu’à l’échéance prévue par ton contrat de bail sauf si tu parviens à trouver un accord avec ton propriétaire (par exemple : la sous-location ou la cession de bail). Si ce dernier s’obstine à refuser tes solutions alors qu’elles sont raisonnables, le Juge de paix pourra considérer ce refus comme abusif.

Si tu as signé ou renouvelé ton bail à partir du 1er septembre 2018,  tu as la possibilité de mettre fin à ton bail étudiant avant son terme, mais certaines règles sont à respecter (attention, ce qui suit est valable en Wallonie)

Si tu souhaites mettre fin à ton bail avant l’échéance de celui-ci, tu devras :

  • respecter un préavis d’au moins 2 mois,
  • et verser une indemnité de 3 mois de loyer au propriétaire.

Cette indemnité n’est pas due  dans les situations suivantes :

  • Tu ne poursuis pas tes études (irrecevabilité, refus ou abandon attesté par ton établissement).
  • Tu cèdes ton bail (avec accord du bailleur).
  • Un de tes parents ou une personne responsable de ton entretien décède.

Attention, le préavis ne peut pas être donné après le 15 mars sauf dans la dernière hypothèse. Le délai de préavis prend cours le 1er jour du mois qui suit le mois durant lequel le congé est donné. (exemple : tu envoie ton préavis le 08 février > il prendra cours le 1er mars).

Exemple : ta session de janvier ne s’est pas très bien passée et tu souhaites abandonner tes études. Tu signales donc directement à ton propriétaire que tu désires mettre fin au bail. Tu devras donc rester deux mois au kot ou le quitter mais tu seras quand-même tenu de payer deux mois de loyer. Par contre, tu seras dispensé de lui payer trois mois d’indemnité si tu lui fournis la preuve officielle de ton abandon (à savoir, un document fourni par ton établissement stipulant que tu abandonnes ton cursus).

Tu souhaites quitter ton kot et tu veux en savoir plus ? N’hésite pas à prendre contact avec nos services !

KOT et Pandémie Covid-19
Alors que les autorités avaient décidé d’assouplir les règles en avril 2020 afin de permettre aux jeunes kotteurs de rompre leur contrat de bail plus facilement, aucune décision n’a été prise en ce sens à l’heure actuelle. Nous restons attentifs aux décisions des différents gouvernements et ne manquerons pas de relayer l'information en cas d'assouplissement des règles de rupture de bail.

Des moyens de contraception sans hormones ? Ça existe !

La contraception a souvent été considérée comme une affaire de femmes, mais elle concerne bien les deux partenaires du couple. En effet, il existe des moyens de contraception féminins mais aussi masculins, notamment sans hormones. Tu connais déjà probablement les différents moyens de contraceptions hormonaux tels que la pilule, l’implant, le stérilet, l’anneau, le patch ou l’injection. Si tu souhaites passer à une méthode sans hormones, voici les différentes possibilités qui s’offrent à toi. Pour information, aucun moyen de contraception n’est efficace à 100%.

Contraceptions féminines

  • Le préservatif féminin

Fabriqué pour empêcher le passage des spermatozoïdes et les contacts entre les fluides sexuels des deux partenaires, le préservatif féminin protège donc à la fois d’une fécondation non désirée et de toutes les IST. Il a un taux d’efficacité de 95%.

  • Le diaphragme et cape cervicale

Il s’agit d’un contraceptif médical en latex ou en silicone sous forme de coupelle peu profonde et flexible dotée d’un rebord souple et placée à l’intérieur du vagin. La fine membrane du diaphragme recouvre le col de l’utérus pendant les rapports sexuels afin de prévenir une grossesse. Associé à un gel spermicide, il a un taux d’efficacité de 94%.

  • La symptothermie 

Elle se base sur une observation très fine de leur corps par les femmes tout au long du cycle : température, aspect de la glaire cervicale, du col de l’utérus. Certaines applications mobiles telles que Clue ou encore Flo permettent d’encoder quotidiennement les informations relatives au cycle féminin. La fiabilité de cette contraception est contestée car elle nécessite une grande précision et un bon accompagnement médical.

  • La ligature des trompes

Il s’agit d’une contraception définitive. Il est donc important d’être certaine de ne plus ou pas vouloir d’enfant. Cette méthode consiste à empêcher le passage de l’ovule dans la trompe de manière immédiate. Ceci peut être réalisé soit en sectionnant la trompe puis en la ligaturant, soit par électrocoagulation, soit en appliquant un clip. Les différentes techniques de ligature ne sont pas totalement irréversibles. On peut réparer les trompes en supprimant la section bouchée. Cependant, les chances de réussite varient entre 40 et 85 %.

Contraceptions masculines

  • Le préservatif

Il crée une barrière physique imperméable aux sécrétions vaginales, au sang et au sperme. Comme ce dernier n’entre pas en contact avec les organes génitaux de la femme, il n’y a pas de fécondation possible de l’ovule et donc de risque de grossesse. Il protège à la fois d’une fécondation non désirée et de toutes les IST. Il est efficace à 98%.

  • L’anneau masculin

Il s’agit d’un anneau en silicone conçu pour assurer le maintien des testicules en position dite haute dans la poche inguinale, permettant d’appliquer le protocole médical de la contraception thermique dite masculine. Cette méthode nécessite absolument l’accompagnement d’un médecin car il existe un protocole strict à suivre. Cette méthode, si elle est suivie correctement, est efficace à 99%.

  • Le « slip chauffant »

Il s’agit également d’une méthode thermique permettant de maintenir les testicules en position haute favorisant la diminution de la production de spermatozoïdes. Il est possible de trouver différents tutoriels pour le fabriquer soi-même comme https://peertube.parleur.net/videos/watch/33f74229-6150-48e5-9ffd-f5eea25db4df . Un suivi médical est également indispensable.

  • La vasectomie

Il s’agit d’une méthode définitive de contraception masculine. C’est une opération chirurgicale qui consiste à ligaturer les deux canaux déférents pour empêcher les spermatozoïdes de se mélanger au liquide spermatique et donc de risquer une grossesse. L’efficacité avoisine les 100% et la réparation chirurgicale est effective à 80% mais le suivi d’une grossesse n’est constaté que dans 50% des cas.

 

Pour plus d’informations sur les différents moyens de contraception et pour trouver celui/ceux qui te conviennent le mieux, rends-toi chez ton gynécologue ou dans un centre de planning familial. Pour trouver un centre près de chez toi, rends-toi sur https://www.planningfamilial.net/liste-des-centres/ .

Qu’est-ce qu’un freelance ?

Tu as peut-être déjà lu dans une offre d’emploi que le contrat ou le statut proposé était celui d’un freelance ? Ce mot issu de la langue de Shakespeare semble porté par un vent de liberté mais que veux-t-il dire concrètement dans le monde du travail en Belgique? On t’aide à y voir plus clair !

Quésaco ?

Le freelance propose ses services aux entreprises (ou peut répondre à une offre) mais contrairement à un employé « classique » il ne fait pas partie de l’entreprise, et il la quittera une fois sa mission terminée. Dans certains secteurs cette notion de freelance est très répandue, c’est le cas des métiers de l’événementiel (stagehand, ingénieur du son…). On trouve aussi beaucoup de freelances dans les métiers de la communication et de l’audio-visuel (webdesigner, animateur 3D, cameraman…)

Le statut de freelance n’existe pas !

Il existe 3 statuts en Belgique :

Un freelance est une personne qui travaille de façon ponctuelle ou régulière pour une entreprise mais qui n’est pas employée par celle-ci. Les entreprises font souvent appel à des freelances pour une mission particulière ou un projet. Dans certains cas elles ont besoin d’une compétence précise qu’elles n’ont pas dans leurs équipes lors de certains moments de l’année le volume de travail est plus important.

Soit tu es fonctionnaire, c’est-à-dire que tu es employé par l’état. C’est par exemple le cas des enseignants et des personnes travaillant dans les administrations publiques.

Soit tu es indépendant et tu es donc ton propre employeur. On retrouve sous ce statut beaucoup de propriétaires de commerces de proximité (boulanger, boucher,…) et de métiers de service (assureur, graphiste, coiffeur..).

Soit tu es salarié et tu travailles pour une entreprise ou une asbl. C’est elle qui sera ton employeur, avec qui tu signeras ton contrat de travail. Ce statut est le plus répandu, il inclut les employés et les ouvriers. Comme tu le constates, le statut de freelance n’existe pas, malgré le fait qu’il soit très répondu. Le freelance est souvent associé à l’indépendant. Mais il est tout à fait possible d’être freelance salarié.

Pourquoi être un freelance salarié ?

Pour être indépendant tu dois t’inscrire auprès d’un guichet d’entreprise et d’un secrétariat social. Tu devras payer ton affiliation et surtout des cotisations sociales trimestrielles. Elles sont obligatoires et ce peu importe le volume de ton activité. Tu pourras ensuite facturer à tes clients le travail que tu effectueras. Il te faudra probablement faire appel à un comptable pour t’aider dans la gestion de ton activité.

Toutes ces démarches et leurs coûts peuvent en dissuader plus d’un. C’est pourquoi pas mal de freelances choisissent le statut de salarié.

Comment faire ?

Il existe des entreprises comme Amplo qui vont te permettre de facturer ta prestation à ton client, et d’avoir un contrat de salarié en même temps.

Légalement tu signes un contrat de travail avec cette entreprise, et elle t’«autorise» à travailler chez ton client. C’est le même système lorsque tu es intérimaire sauf qu’ici c’est toi qui fixe le montant, l’horaire et qui décide pour qui tu travailles.
Concrètement une inscription en ligne sur le site d’Amplo et un premier rdv suffisent pour faire ta première facture. Lors du rdv le consultant de chez Amplo te demandera de bien définir ton travail, tes horaires,… Il t’expliquera comment ça se passe au niveau financier, via une simulation de prix.

Evidement il y a diverses choses à prendre en compte, telles que l’ONSS ou le précompte professionnel par exemple. Toute la partie administrative est assurée par ton consultant et ton salaire te sera versé avant d’envoyer la facture à ton client.

Petit conseil : ne propose jamais de prix à un client sans avoir discuté au préalable avec ton consultant. Entre le montant facturé et ce que tu auras en net il y a une grande différence. Ce statut de freelance salarié est également possible pour les étudiants.

Plus d’infos ?

Pour en savoir plus ou travailler comme freelance salarié, rends-toi sur : Amplo.be, tu y trouveras toutes les informations !

Malaise à la coloc’ : que faire ?

Tu vis en coloc mais tu ne parviens pas à y prendre tes marques ? Ton voisin de chambre ronfle tellement fort que ça t’empêche de dormir ? Tu es du genre maniaque alors que tes colocataires ne voient pas en quoi laisser traîner la vaisselle sale dans l’évier pendant plusieurs semaines pose problème ? Tu as frappé à la bonne porte, Infor Jeunes est là pour te donner quelques conseils afin de traverser au mieux ce type de situation parfois pour le moins délicate.

Tenter de trouver un terrain d’entente              

Comme pour la plupart des conflits et autres tensions, la première solution à envisager est d’en parler afin de tenter de trouver une solution qui convienne à chacun. Pour ce faire, plusieurs possibilités s’offrent à toi. Passons-les en revue ensemble !

Réunir tout le monde autour d’un bon repas

Pas de panique si tu n’es pas un fin cordon bleu, ce premier conseil peut bien sûr faire l’objet de quelques adaptations ! L’idée ici est de rassembler tes colocs autour d’une même table afin que tous puissent faire part de leurs ressentis et éventuelles réclamations quant à la vie en communauté. Pour permettre à chacun de faire entendre ses arguments –même aux plus timides– tu peux mettre en place certains mécanismes qui invitent au dialogue en respectant vos différents caractères. Par exemple, pourquoi ne pas créer une « boîte aux lettres » dans laquelle chaque colocataire pourrait glisser un message (positif ou négatif) anonymement ? Ainsi, une fois rassemblés, vous pourrez procéder au dépouillement de la boîte et prêter attention aux avis de tous.

Ce type de « réunion » peut être organisé de manière ponctuelle afin de prévenir l’installation de différends en favorisant une communication régulière.

Établir un plan de répartition des tâches

Souvent utilisés dans les colocs, les plannings et autres moyens de répartition des tâches permettent d’assurer un partage équitable de celles-ci. En effet, la gestion des corvées peut être à l’origine de nombreuses tensions entre colocataires. Pour éviter celles-ci, rien de tel qu’un peu d’organisation. Un feutre, une feuille ou un tableau blanc et en quelques minutes, le tour est joué ! Tu te charges de la vaisselle en semaine 3, Tom passe l’aspirateur et Léa, quant à elle, sort les poubelles !

Un environnement sain et hygiénique permet déjà d’éviter de nombreux conflits !

Prévoir quelques sorties

Pour renforcer la cohésion entre vous et favoriser l’intégration de tous, il peut aussi s’avérer nécessaire d’organiser des sorties de manière périodique. De telles activités en dehors du cadre de vie habituel peuvent elles aussi permettre une meilleure communication au sein du groupe. Cela peut être une occasion pour toi de partager ton mal être avec les autres et de tenter d’y remédier !

Et si ça perdure ?

Malheureusement, parfois, malgré toutes ces précautions, il arrive que l’ambiance ne prenne pas ! Dans ce cadre, après avoir envisagé toutes les solutions possibles et imaginables, tu songes peut-être à quitter ta coloc et partir vers d’autres horizons.

Pour ce faire, sache que tu dois veiller au respect de certaines règles. Concrètement, si tu as conclu ou renouvelé ton contrat de bail après le 1er septembre 2018, tu peux rompre ton contrat à tout moment pour autant que tu respectes la procédure à suivre :

  • Prévenir ton propriétaire 3 mois à l’avance (de préférence par lettre recommandée datée et signée). Il s’agit du délai de préavis qui commence à courir le premier jour du mois suivant celui au cours duquel tu fais part de ta décision. Par exemple, si tu avertis ton propriétaire de ton départ le 22 janvier, ton préavis débutera le 1er février pour prendre fin le 30 avril ;

Attention ! Tu dois communiquer cette information à ton propriétaire, mais aussi à tes colocs !

  • Chercher un remplaçant pendant le délai de préavis. Celui-ci devra être accepté par ton propriétaire ainsi que les autres colocataires qui ne peuvent le refuser que pour de justes motifs. Si tu ne parviens pas à trouver un tel candidat, tu devras malheureusement payer à tes colocataires une indemnité équivalente à trois fois ta part du loyer.
Source
Art. 68 du décret du 15 mars 2018 relatif au bail d’habitation (M.B. 28 mars 2018).

Malade ou en quarantaine durant ta session d’examens ?

Que faire si tu tombes malade ou que tu es en quarantaine durant les examens ?

Les autorités n’ayant pas pris de mesures particulières relatives à cette situation, chaque établissement peut prendre ses propres dispositions.

En règle générale, si tu es malade et couvert par un certificat médical, tu peux demander à pouvoir représenter un examen que tu n’as pas pu présenter pour cette raison. Tu conserves ainsi tes deux chances pour l’année académique concernée. Attention, il ne s’agit pas d’un droit absolu, cette demande peut donc être refusée par l’établissement (notamment pour des questions organisationnelles).

En cette période de crise sanitaire, la règle r est identique : que tu sois sous certificat parce que tu es atteint du coronavirus ou d’une autre maladie, ou encore parce que tu as été en contact avec une personne infectée, tu as la possibilité de faire la demande de repasser ton examen, en janvier si c’est possible, ou en juin. Tu peux consulter le règlement des études de ton établissement pour obtenir davantage d’informations.

Si tu es en 1ère bac, tu as de toute façon la possibilité de repasser ton examen en juin car tu disposes de 3 chances pour l’année académique.

Si tu es en quarantaine mais que tu n’es pas malade et que ton examen se déroule en distanciel, tu n’as en principe aucun souci pour le présenter.

Si ton examen a lieu en présentiel et que tu ne peux t’y rendre, il va falloir te renseigner auprès de ton établissement sur les possibilités de le représenter. C’est généralement au président du jury d’examens que tu dois adresser ta demande. Soit tu pourras le repasser dans les semaines qui suivront, sous forme d’une « session prolongée », soit tu ne pourras le repasser qu’en seconde session directement. Les autorités n’ont pas pris de mesures réglant la question de manière unanime, et les établissements ont annoncé qu’ils procéderaient au cas par cas.

Concernant la quarantaine obligatoire après un séjour d’au moins 48h en zone rouge, le gouvernement a indiqué que les étudiants sont autorisés à interrompre exceptionnellement leur quarantaine pour présenter un examen (uniquement pour présenter l’examen).

Les jeux de société s’adaptent !

Tu as l’habitude de participer à des soirées jeux de société avec les membres de ta famille ou avec tes amis ? Tu es triste de ne plus pouvoir passer du bon temps avec tes proches, durant le confinement et à l'approche des fêtes ? Des solutions existent ! Plusieurs jeux de société sont adaptables et peuvent venir animer ton temps libre tout en te permettant de garder un lien avec les gens que tu aimes. Tandis que les jeux vidéo classiques peuvent parfois entraîner un climat de compétition et rester difficilement accessibles pour les non-initiés, les jeux de société adaptés en ligne peuvent, au contraire, générer une ambiance conviviale et récréative. Il existe différentes manières de les adapter.

  1. Les plateformes en ligne

Différents jeux de société ont été adaptés dans une version numérique. En effet, il existe différentes plateformes permettant de rejoindre tes amis ou les membres de ta famille sur le net autour d’un jeu ! La plateforme https://fr.boardgamearena.com/ en propose plus d’une centaine tels que « Bataille Navale », « Through of ages » ou encore « La belotte ». Il est également possible de brancher vos micros et webcams afin de pouvoir discuter tout en jouant.

 

  1. Jeux de société à distance

Ta famille, tes amis et toi connectez-vous à votre webcam et sortez votre plateau de jeu ! Par exemple, munissez-vous de votre plateau de bataille navale ou de « Qui est-ce ? », allumez vos webcams et le tour est joué ! Cette solution peut être plus confortable pour les personnes qui utilisent très peu les outils informatiques.

 

  1. Jeux de rôle ou animation à distance

Ce type de jeu prend beaucoup plus de temps car il nécessite une certaine préparation. En effet, le maître du jeu se doit d’organiser l’activité au préalable, de définir les règles, de composer avec une plateforme en ligne et de s’assurer de la disponibilité des participants. Il est par exemple possible d’adapter le jeu « Les Loups Garous de Thiercelieux » en attribuant les rôles à distance et en prévoyant les temps d’échange par webcam à un rdv fixé à l’avance. Il est aussi faisable d’organiser un blind-test ou encore un « N’oubliez pas les parole » à distance. Il est donc ici nécessaire de jongler avec les outils informatiques mais cela permet de passer des soirées très distrayantes et amusantes.

 

Cette nouvelle manière de jouer aux jeux de société ne remplace pas une bonne soirée en famille ou entre amis, mais elle a pour avantage d’éviter les risques de contamination et de maintenir le contact autour de tes jeux de société préférés. Elle permet également de faire preuve de créativité en adaptant certains jeux. De belles soirées en perspective durant les vacances d’hiver !

Quitter le nid familial : tout ce qu’il faut savoir !

Quitter le nid familial est une étape importante dans la vie d’un jeune. Certains peuvent se sentir euphoriques face à cette nouvelle aventure alors que d’autres peuvent émettre certaines craintes face à ce changement et les nouvelles responsabilités que ce déménagement représente. Dans tous les cas, cela reste une grande étape et mieux vaut s’y préparer.

Louer, acheter ou bâtir ?

La première question qui se pose est généralement celle de l’achat ou de la location.

Il est plus rare de débuter avec un achat, mais cela est faisable si tu disposes des belles économies et d’un emploi stable. En effet, acheter rime avec crédit hypothécaire et pour cela, les banques demandent de remplir certaines conditions. Par exemple, elles demandent d’avoir un apport personnel de minimum 10% du prix d’achat. De plus, le prix du bien ne correspond pas au prix final de l’achat. En effet, il est également nécessaire de prendre en compte les frais supplémentaires que cela peut engendrer comme les frais de notaire, les frais de dossier, etc. Dans certains cas, un prêt afin de réaliser les travaux sera également à envisager.

Acheter représente un coût important, mais cela donne l’avantage d’avoir un bien qui t’appartient et dans lequel tu peux apporter les modifications que tu souhaites.

Louer un bien peut être plus simple pour débuter. En effet, il n’est pas nécessaire d’obtenir un crédit immobilier, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a aucun frais. Lorsque l’on décide de louer il ne faut pas oublier qu’il y aura une caution qui s’élève à généralement 2 loyers, ainsi que le coût des états de lieux d’entrée et de sortie. De plus, certaines réparations telles que le changement des ampoules ou encore l’entretien annuel de la chaudière seront à ta charge.

Louer ne te laisse peut-être pas autant de libertés que l’achat en terme de modification du bien, mais cela a d’autres avantages. Par exemple, une fois le bail terminé, tu pourras changer d’endroit si tu le désires. Ce qui peut être un critère non négligeable lorsque l’on débute dans la vie. Tu pourras alors décider de te rapprocher de ton lieu de travail ou encore de changer de ville si ton travail change également.

Certains biens peuvent être loués déjà meublés ce qui a l’avantage de permettre de faire l’économie de l’aménagement du logement.

La dernière option est de faire bâtir. En effet, si tu disposes d’un budget conséquent faire bâtir ta propre maison est aussi une possibilité. Si tu envisages cette option, différents coûts seront à prévoir, tels que l’achat d’un terrain, les consultations auprès d’un architecte, les frais matériaux et manuels. Faire bâtir reste une option très coûteuse.

Finalement, le choix dépendra en grande partie de ta situation et de tes envies.

Où rechercher ?

Pour trouver un logement, plusieurs canaux sont possibles. Tout d’abord, il y a les agences immobilières qui proposent de nouveaux logements très régulièrement. Pour cela, n’hésite pas à consulter leurs sites internet couramment afin de voir les nouvelles offres qui pourraient te convenir.

Il existe également des sites internet sur lesquels des propriétaires peuvent publier leurs annonces. Il y a par exemple :

  • immoweb.be
  • zimmo.be
  • logic-immo.be

ou bien d’autres. N’hésite pas à réaliser ta recherche en fonction du lieu où tu souhaites habiter.

Un autre canal qui fonctionne très bien est celui du bouche-à-oreille. Il ne faut pas hésiter à parler de ta recherche autour de toi, ton entourage aura peut-être vu ou entendu parlé d’un bien qui pourrait faire ton bonheur.

Les visites, à quoi faire attention ?

Une visite de logement se passe généralement très vite. Il ne faut surtout pas hésiter à prendre ton temps et à regarder tout ce que tu souhaites regarder. Voici une liste de choses auxquelles faire attention afin d’avoir toutes les informations nécessaires lors de ton choix :

  • L’état des murs afin de détecter toute présence d’humidité,
  • L’état des châssis, ainsi que les vitrages des fenêtres (simple ou double) pour l’isolation,
  • Au type de chauffage (gaz, électricité, …), ainsi qu’à la disposition et l’état des radiateurs,
  • L’état de l’installation électrique,
  • Le nombre et l’état des prises électriques,
  • La présence de détecteurs d’incendie qui est obligatoire,
  • L’état des sanitaires, n’hésite pas à tirer la chasse d’eau ou encore à faire couler l’eau des robinets ou de la douche pour vérifier que tout fonctionne correctement,
  • L’équipement disponible dans la cuisine (hotte, four, taque électrique, etc.) ou la place disponible pour les installer,
  • La présence d’installation pour l’accès à internet,
  • La localisation du bien (accessibilité des transports en commun, proximité des commerces, etc.)
  • Le voisinage, n’hésite pas à venir dans le quartier à plusieurs moments afin de voir si c’est un lieu bruyant ou non,
  • Et finalement, si cela t’intéresse, renseigne-toi sur ton degré de liberté en matière de décoration (repeindre les murs, poser des clous, etc.).

N’hésite pas à préparer toutes tes questions avant la visite, elle doit te permettre d’avoir tous les éléments de réponse afin de faire ton choix en toute connaissance de cause.

Le changement d’adresse, comment ça se passe ?

Une fois le déménagement réalisé, il faut changer d’adresse pour être en ordre. Pour cela, tu dois t’adresser au service population de la commune de ton nouveau logement. Tu peux te rendre sur place avec ou sans rendez-vous ou encore le faire par mail si ta commune le propose. Cela dépend de la commune en question, donc le plus simple est de te rendre sur le site internet et de voir ce qu’ils proposent.

Une fois la demande de changement d’adresse effectuée, tu reçois un document qui atteste ta demande. Mais le changement n’est pas encore effectif. Pour cela, il faut attendre la visite d’un agent de quartier qui s’assurera que tu résides bien à l’adresse que tu as renseignée. Une fois la constatation réalisée, ton adresse sera changée dans le registre de la population de la commune ainsi que dans le registre national et tu recevras une convocation. Tu devras alors te rendre au service population afin de modifier ta carte d’identité. Une fois que les modifications sont apportées, tu peux communiquer ta nouvelle adresse.

Certaines institutions sont automatiquement prévenues du changement une fois qu’il est officiel, comme :

  • Les institutions de la sécurité sociale
  • La caisse d’allocations familiales
  • La mutuelle
  • Le CPAS
  • Les assureurs pour les accidents du travail
  • Les caisses pour les vacances annuelles
  • Le Fonds de sécurité d’existence
  • Les sociétés régionales de logement

Cependant, pense à en informer :

  • Si tu es demandeur d’emploi : le Forem, ACTIRIS ou le VDAB
  • Si tu travailles : ton employeur
  • Si tu perçois une allocation : la caisse de paiement (syndicat ou CAPAC) pour les allocations de chômage ou les allocations d’insertion professionnelles
  • La banque et compagnie(s) d’assurance
  • Les sociétés de distribution de quotidiens et de magazines si tu es abonné à l’un d’eux
  • Les associations dont tu es membre ou encore les sociétés pour lesquelles tu as une carte de fidélité

Dois-je prendre une assurance ?

Une fois que tu quittes le logement familial pour ton propre logement, il t’est nécessaire de contracter une assurance incendie, ainsi qu’une assurance responsabilité civile (RC familiale). Et cela vaut autant dans le cas d’un achat ou d’une location.

Afin de choisir ton assureur, tu peux demander des devis aux compagnies d’assurances en fonction de ta situation. Il existe également des sites internet comparateurs sur lesquels tu peux réaliser des simulations pour t’aider à choisir.

Si tu as déjà une assurance voiture, renseigne-toi auprès de ton assureur afin de voir s’il est possible de faire un pack assurance et de cette manière bénéficier d’avantages.

Quels fournisseurs ?

Qui dit emménagement dit nouveaux fournisseurs. Mais comment les choisir ? En effet, au vu de l’offre, il n’est pas toujours facile de savoir chez qui souscrire un abonnement.

Pour commencer, tu dois d’abord bien identifier tes besoins afin de mieux savoir vers qui te tourner. Concrètement tu as besoin de fournisseurs pour l’eau, l’électricité, le chauffage et enfin pour la TV et internet.

En ce qui concerne l’eau, tu n’as pas le choix du distributeur. En effet, chaque région a sa société attitrée. Il existe des sites internet sur lesquels il te suffit d’entrer ton code postal pour savoir quel est ton distributeur d’eau.

Pour l’électricité, il existe des sites internet comparateurs d’énergie. Cela te permet alors de voir quel fournisseur proposent les meilleurs tarifs. Il est également possible de te rentre sur les sites web des distributeurs et de réaliser un devis en fonction de ta propre situation afin de comparer les offres. Cela est également possible pour les câblodistributeurs, les sociétés de téléphone et/ou fournisseurs d’accès à internet.

Une fois la comparaison faite, il te suffit de contacter ceux de ton choix. N’oublie pas de te munir des relevés de compteurs effectués lors de l’état des lieux d’entrée. C’est sur ces données que se baseront les fournisseurs afin de débuter tes abonnements.

Pour être le plus serein possible, tu peux faire en sorte que tes factures et ton loyer soient prélevés à l’aide d’une domiciliation. Cela t’évitera tout soucis en cas d’oubli et te fera gagner du temps. Une fois toutes ces questions réglées, il ne te reste qu’à profiter de cette nouvelle aventure.

Besoin de parler ?

Le deuxième confinement pèse énormément sur notre moral et il n’est pas toujours facile de rester optimiste durant cette période particulière. Une enquête démontre qu’un jeune sur cinq démontre des symptômes de dépression causée notamment par la prolongation du confinement. Si tu ressens de l’anxiété ou encore, un sentiment de tristesse persistant, ne restes pas seul. Différents services sont là pour t’écouter et t’accompagner en situation covid-19.

Si tu as besoin de parler :

  • Collectif de soutien psychologique : des psychologues et psychothérapeutes pour du soutien lié à la situation actuelle.
    Contact: covid19@gmail.com
  • Télé-Accueil : numéro d’appel pour les personnes qui ont besoin de parler à quelqu’un. Contact : le 107 ou via tele-accueil.be.
  • Ecoute enfants : Numéro d’appel gratuit pour les enfants et les adolescents accessible de 10h à minuit tous les jours.

Contact : le 103 pour un chat.

  • Prévention suicide : Numéro d’appel gratuit 24h/24, tous les jours et dans l’anonymat.
  • Ligne de prévention du suicide pour les indépendants en détresse: le 0800/300.25 (de 8h30 à 17h du lundi au vendredi)

Contact : le 0800 32 123 ou via le site www.preventionsuicide.be.

  • Ecoute – Santé Mentale : besoin d’un services de santé mentale bruxellois?

Contact : le 02/501 01 27

  • Les universités proposent des services d’aide psychologiques pour les étudiants. Renseigne-toi sur le site de ton établissement.
  • De nombreux psychologues continuent leurs consultations à distance. Pour trouver un psychologue dans ta région, rends-toi sur la page lepsychologue.be, il s’agit de l’annuaire des psychologues.

En cas de situation de violence conjugale et/ou intrafamiliale :

  • SOS Parents : Numéro d’appel pour les parents épuisés et/ou stressés 8h-20h tous les jours pendant la période des mesures.

Contact : le 0471/414 333.

  • Violences conjugales : Numéro d’appel gratuit pour les victimes et les témoins de violences conjugales, 24h/24, tous les jours.

Contact : le 0800 30 030 ou via le site www.ecouteviolenceconjugale.be.

  • Praxis : Praxis aide les auteurs de violences conjugales et intrafamiliales.

Contact : http://www.asblpraxis.be/ pour plus d’informations.

  • SOS ENFANTS FWB : Si tu connais un enfant victime de maltraitances physiques ou psychologiques, n’hésite pas à agir en téléphonant à l’équipe SOS-Enfants de ta région.

Contact : https://www.one.be/public/1-3-ans/maltraitance/equipe-sos-enfants/

 

En cas de besoin d’une aide alimentaire/ financière :

N’hésite pas à faire appel au CPAS de ta commune, ils pourront également te renseigner sur les dispositifs d’aide financières et les organisations d’aides alimentaire organisés dans ta région.

Tu peux également trouver certains dispositifs via https://www.fdss.be/fr/repertoire-de-l-aide-alimentaire/?fbclid=IwAR0BVqckN418wdjzP3qCc1Si3ZJkZmKzuWLdVqsAtCNDBQCo9ZkHe9DpGNY .